Vous n'avez pas de plan à cet effet ? Seras-tu à la maison?
Partageons six choix incontournables du cinéma français.
Nous sommes sûrs que vous les aimerez et que vous passerez un très bon moment avec ces titres.
De Jean-Luc Godard, Jean Eustache, Agnès Varda, et en passant Krzysztof Kieslowski, Vérifiez ce que nous avons préparé pour vous.
source: Affinité cinématographique
Trois couleurs (Krzysztof Kieślowski, 1993 à 1994)
ce trio audacieusement cinématographique d'histoires d'amour et de perte, de Krzysztof Kieslowski, ce fut un événement déterminant du boom de l'art et essai des années 1990.
Les films portent le nom des couleurs du drapeau français et représentent les principes de Révolution française (liberté, égalité et fraternité), mais cela explique à peine sa beauté énigmatique et sa riche humanité.
S'installer Paris, Varsovie et Genève, et de la tragédie à la comédie, Blue White and Red (le dernier film de Kieslowski) examine avec une clarté artistique un groupe de personnes interconnectées de manière ambiguë qui vivent de profonds bouleversements personnels.
Marqué par une cinématographie enivrante et des performances émouvantes d'acteurs comme Juliette Binoche, Julie Delpy, Irène Jacob et Jean-Louis Trintignant, Trois couleurs de Kieślowski est un référent de la cinéma contemporain.
Les glaneurs et la glaneuse, (Agnès Varda, 2000)
L'extraordinaire renaissance tardive de la carrière de Agnès Varda commencé avec ce documentaire merveilleusement idiosyncratique et introspectif dans lequel l'icône du cinéma français explore le monde des éboueurs d'aujourd'hui : ces marginaux qui survivent en cherchant ce que la société jette.
Embrassant l'intimité et la liberté du cinéma numérique, Varda se pose comme une sorte de collectionneuse d'images et d'idées, celle dont la vision généreuse et expansive laisse place à la réflexion sur tout, du vieillissement à la naissance du cinéma en passant par la beauté des pommes de terre en forme de cœur.
Parfois ludique, philosophique et subtilement politique, Les Gleaners et moi C'est une chaleureuse réflexion humaine sur les contradictions de notre monde de consommation par une artiste qui, comme ses modèles, trouve des richesses insoupçonnées là où peu pensent à chercher.
Petite maman (Céline Sciammap. 2022)
le lumineux "Petite Maman" de Céline Sciamma C'est une histoire d'il était une fois avec une torsion.
Situé dans le France Aujourd'hui, dans un village isolé fait pour la solitude et l'imaginaire, se déroule une histoire de liens familiaux, de rêveries d'enfant et de questions sans réponse.
C'est aussi l'histoire de trouver quelqu'un qui, comme la dernière pièce d'un puzzle, la pièce dont vous saviez qu'elle existait mais qu'il fallait juste trouver, complète le tableau.
Autrement dit, c'est une histoire d'amour.
La mère et la pute, (Jean-Eustachep. 1973)
La maman et la putain raconte l'histoire d'un jeune homme, Alexandre, incarné par l'illustre Jean-Pierre Léaud est notre valeur principale. ménage à trois dans lequel il se retrouve inévitablement piégé.
Il vit et couche commodément avec une femme plus âgée, Marie, bien qu'il tombe amoureux de Veronika, une jeune infirmière qu'il rencontre après avoir partagé un sourire dans un café.
Avec des dialogues incroyablement denses et lourds, la plupart des conversations tournent autour d'intonations graphiques de sexe, d'amour ou de suicide.
Les références à la littérature, à la musique et au cinéma s'entremêlent, célébrant et signalant la fin du Nouvelle Vague française.
Bien que le film soit long, il est incontestablement intime dans son exploration tragique et honnête de la psyché intérieure de chaque personnage.
À bout du souffle, (Jean-Luc Godardp. 1960)
il y avait avant Breathless, et il y a eu après Breathless.
Jean-Luc Godard fait irruption sur la scène cinématographique en 1960 avec cet hommage de forme libre, sexy et jazzy au genres cinématographiques Américains qui l'ont inspiré en tant qu'écrivain de Cahiers du cinéma.
Avec son manque de raffinement, son excès d'attitude, son récit criminel où tout est permis et les jeunes stars effervescentes Jean-Paul Belmondo et Jean Seberg, À bout du souffle aidé à lancer le Nouvelle Vague française et fait en sorte que le cinéma ne soit plus jamais le même.
La règle du jeu, (Jean renoirp. 1939)
Considéré comme l'un des meilleurs films jamais réalisés, Les règles du jeu (La règle du jeu), du Jean renoir, est une critique cinglante de la société française corrompue enveloppée dans une comédie de mœurs qui se déroule le temps d'un week-end dans le château d'un marquis.
Le film met à nu de vilaines vérités sur un groupe de connaissances de la noblesse et a eu une histoire tumultueuse : il a été soumis à des coupures à la suite d'une violente réaction du public lors de sa première en 1939, et le négatif original a été détruit lors de la Seconde Guerre mondiale; il n'a été reconstruit qu'en 1959.
La vérité est que le film a surpris les téléspectateurs pendant des décennies.